Départ de Toulouse vendredi soir, des trombes d’eau sur la route, on se dit que ça doit être de la neige là-haut.
Arrivés à Cauterets, on monte sans chaines, mais ça commence à glisser sur la petite route de la maison…
Allez, une bonne nuit dans le duvet et demain on ride.
Samedi 30.
Mauvaise surprise au réveil, plus d’eau dans la maison ! Le temps de s’occuper de ça, que quelqu’un vienne nous filer un coup de main, l’éclaircie de la journée est passée, le ride c’est mort pour aujourd’hui… La loose. Bref on descend chiller au village, puis on décide de tenter de monter au Courbet pour faire un kicker. Obligés de chainer pour monter, ça glisse ! Arrivés là-haut, on ne voit rien non plus. Bon ben on redescend…
Mais il faut rider quand même : la luge ! Parce qu’un week-end de ride c’est pas que du snow. On enchaine les courbes, on coupe dans les virages… ou pas. 
Puis je décide de faire ma trace dans le jardin, histoire de.
Finalement on joue à faire des press (à l’arrêt siouplé), et à nose-bumper la souche d’arbre.
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On va se coucher avec l’angoisse au ventre car on n’a toujours pas d’eau… Il n’a pas arrêté de neiger depuis vendredi soir, au passage. Dommage que ma chérie n’a pas pu venir pour voir ces paysages.
Dimanche 31.
De l’eau !
ET DE LA POW !!!
Bon là faut monter, on verra bien si on a des trouées. On descend à pied au village, histoire de s’échauffer hein…
Arrivés en station, une quantité dingue de fraîche, au moins 60-70. Là, pas de photos, désolé faut tracer. On SE GAVE de pow, on passe partout où on peut. Heureusement que j’avais mis du setback. Un truc de malades, la peuf est légère, ça vole dans les courbes, on flotte, on speede sur un matelas de neige. Du bonheur !!!
Après plus de 2 heures de traces, on cherche les ruptures de pente, on tente quelques jumps, on sait qu’à l’arrivée c’est mieux qu’un airbag.
On finit par s’arrêter pour manger, fait faim quand même. Mais après ça reste bouché, on ne voit plus rien. Mon pote retente un coup, je l’attends en bas. Et j’ai bien fait car on n’y voyait pas à un mètre !
Voilà, fin de la session, on remonte à pied à la maison (20 minutes en montée, ça achève un homme).
Un peu de ménage et retour au bercail toulousain.
Allez, quelques photos du paysage autour de la maison.
Et la seule photo en station.
J’espère que vous aussi vous avez pu profiter de cette neige ce week-end !!
@+
Jefe
