Dimanche, c’est la fête des pères il me semble donc je crois que ca va être repas de famille pour moi… et pétanque pour digérer mais pas à Fréjus. Dommage que ce soit pas samedi j’aurai bien bu un p’ti pastaga avec les parigots ! Amusez vous bien …
**petit hymne
à apprendre par coeur
__au moins le premier couplet __
51, je t’aime
J’en boirai des tonneaux (et des tonneaux !)
A me rouler par terre
Dans tous les caniveaux
Et si tu m’abandonnes
Alors, je m’empoisonne
Avec une bonbonne
De bon Ricard bien jaune
Le ciel il est trop haut
La terre elle est trop basse
Il n’y a que le comptoir
Qui soit à mon niveau
51 je t’aime
j’en boirais des tonneaux (et des tonneaux !)
A me rouler par terre
Jusqu’au prochain bistrot
Dans une forêt d’Afrique
barracuda buvait
un 51 nature
boisson alcoolisée
il y mettait de la menthe
Pour mieux prendre son pied
Et du fond de la jungle
On l’entendait crier :
51 , je t’aime
J’en boirai des tonneaux (et des tonneaux !)
A me rouler par terre
Dans tous les caniveaux
un 51 nature
Boisson alcoolisée
Ils y mirent de l’eau pure
Pour le rendre plus gai
Pernod jamais trop tôt
Ricard jamais trop tard
Je baise les crapauds
J’encule les tétards
51, je t’aime
j’en boirais des tonneaux (et des tonneaux !)
A me rouler par terre
Le soir au bord de l’eau.
Pédro va au Brésil
Pour danser la samba (la samba)
Il va de ville en ville
Pour apprendre le pas
Pédro est au comptoir
Il sert l’apero
Il va de verre en verre
Pour servir le Pernod
51 je t’aime
j’en boirais des tonneaux (et des tonneaux !)
A me rouler par terre
Jusqu’au prochain bistrot
Dans le sud de la france
un marseillais buvait
Un verre de pastis
boisson alcoolisée
Il ajouta la menthe
pour mieux prendre son pied
C’est ainsi qu’on invente
le fameux perroquet
51, je t’aime
j’en boirais des tonneaux (et des tonneaux !)
A me rouler par terre
Le soir au bord de l’eau.
En Amérique latine
un Astek buvait
Un pastis grenadine
que beaucoup appréciaient
Ce fut donc un Français
qui dû le prénommer
Tomate il l’appelait
et tomate il buvait
51, je t’aime
J’en boirai des tonneaux (et des tonneaux !)
A me rouler par terre
Dans tous les caniveaux
Et depuis ce temps là
et partout où l’on va
On entend ce refrain
un verre dans la main
51, je t’aime
J’en boirai des tonneaux (et des tonneaux !)
A me rouler par terre
Jusqu’au prochain bistrot
