Le truc rigolo, c’est que j’étais en train de me dire qu’il faudrait changer le programme de la sortie du club ce dimanche parce que le couloir du Prayet en Chartreuse c’est surement plus très amusant, et que c’était la bonne occaze pour leur suggérer d’aller sur la face Ouest du Quermoz quand j’ai reçu un mail du président qui proposait… d’aller faire la face Ouest du Quermoz à la place de la sortie en Chartreuse. Bon déjà ça part bien, on est raccord sur où on veut aller.
Au final le président il est pas venu parce qu’il avait trop fait la fête la veille ou un truc du genre, mais on a quand même fait la sortie avec Philippe et Aurélien tous deux en ski et Christophe, Virginie et François en raquettes.
Bon on a rejoué le coup de l’équipe qui part sans pain pour le casse dalle en comptant sur une boulangerie locale, et qui pert une demi-heure à chercher une boulangerie qui n’existe pas dans absolument tous les villages entre l’autoroute et le point de départ.
Bon c’est pas grâve, de toute façon on a toujours 10 fois trop à manger quand on part avec le club. C’est parti donc. La surprise du jour, c’est qu’on peut chausser à 10m de la voiture à la montée, à 1350m d’altitude. Je m’attendais plutôt à devoir porter jusqu’à au moins 1600. Bon c’est sûr il faut un peu finasser, voir marcher en douceur sur de l’herbe de temps en temps.
Encore une bien belle sortie. Montée par la face Ouest que j’aurais bien redescendue tellement elle m’a plu, mais les deux skieurs voulaient faire la face Nord Ouest puis remonter au col du Va pour enchaîner derrière jusqu’au parking. Je les ai donc accompagnés pendant que les raquettistes redescendaient par mon bel itinéraire (je reviendrai un jour).
La neige en haut était plutôt bonne, mais dans le bas c’était plus collant, la faute à un regel nocturne très médiocre la nuit précédente. On a quand même réussi à descendre presque jusqu’à la voiture sans déchausser (bon on a bien testé le tailpress sur plaque d’herbe et le saut de petit rocher qui barre le passage, mais personne n’a eu la moindre erraflure sur ses semelles.
Après il a fallu attendre les raquettistes (qui apparemment en ont bien chié dans la neige collante) avant d’aller se raaffraichir « chez Fred » (oui parce qu’à Grand Naves, il y a pas de boulangerie, mais y’a un bar.
Pour le reste, je vous laisse quelques photos.
Y’en a d’autres
