Une journée sans trop y croire mais mon pote Julien voulais aller tâter la neige. Bref je l’emmène dans ce coin paumé et difficilement accessible lors d’un hivers normal avec une limite d’enneigement basse. Au parking du bout de la route à 11H (yes grass’mat & powpow ne sont pas incompatible) pas de neige, mais dans les hauteurs ça semble pas si mauvais. Du coup on pars sans objectif précis mais dès qu’on arrive au 1er étage (45mn de marche) c’est la bonne petite poudre qui nous attend. Du coup le moral est là et on monte tranquillou mais sans trop faire de pauses. Sur le haut je repère un couloir qui semble pas mal du tout surtout que ça fait un petit moment qu’on est dans 20/30 de poudre. Malheureusement le haut est plus travaillé et en neige dur alors que le bas est tip-top. J’avais flasher un autre couloir un peu plus loin, qui étant plus protéger et un peu moins pentu devrais le faire. Et Hop dans la poche ça passe crème avec une descente 100% poudre jusqu’à la limite skiable. Encore un sacré bonne journée
Forcément avec une limite de neige à 2400 ça monte un peu à pied
Mais dès que la neige est là la motive reviens à grand pas !
Et puis bon ce coin est juste sublime
Avec l’altitude ça brasse un peu plus
Tiens mais y’aurais pas un p’tit couloir qui nous fait de l’oeil au milieur de la face là ?
Si le bas est top
Le haut n’est pas inridable mais le plaisir ne sera pas là
Du coup au « sommet » je propose à Julien de redescendre par l’autre
Et pour la descente voici ce que ça donne
Mais ça se skie aussi
Bonne saison à tous… (En espérant que ça tombe un peu pour de vrais rapidement)
T inquiètes Shama,tu nous fout la motive pour faire de la rando mais ici en auvergne je ne prend que le VTT ,
le split est bien au chaud et pas dans le coffre
Ouaw!!! super(comme d’habitude pour « shama » et « roulio » entre autres…) qd vous venez dans les Htes Alpes(Ecrins) faites signe je vous accompagnerais bien
*Oui au fait pourquoi pas les raquettes?! pas si profonde peut étre? ou trop raide??!!
j’ai arraché la fixe de montée la semaine dernière
sachant qu’il n’avait pas reneigé j’étais bien moins lourd avec les crampons qu’avec des raquettes qui ne m’aurait pas servies à gd-chose (neige très légère et fond dur assez rapidement atteins)
C’est pas toujours évident de bien juger de ce qui va être pertinent le jour J, mais bon là je ne me suis pas trop planté.
@Tim: pas de soucis. Je désespère un peu aussi, mais les prochaine saisons n’auront pas forcément le même début (et puis on n’est qu’en novembre et tout ça peut quand même changer rapidement)
Avant de rider il a repéré à la montée et bien observé les signes annonciateurs de risques potentiels (désolé, ça s’apprend pas en un post sur un forum, mais je t’encourrage à faire des recherches sur le net et dans les bouquins, ainsi qu’à te rapprocher de proffessionnels pour apprendre la base).
Tu vas me dire: avant la montée, comment…
D’abord, il y a la préparation de la sortie (bulletins d’estimation des risques d’avalanche, bulletins météo, mais aussi étude minutieuse de la topologie de la course envisagée). Et toujours garder en tête que si l’observation sur le terrain montre un niveau de risque plus élevé qu’envisagé au départ, il faudra renoncer, peut-être sans même avoir chaussé.
Ca peut paraître frustrant, mais c’est le prix à payer pour ce genre de pratique.
Perso j’aurais tendance à dire qu’il faut avoir le même genre de démarche lorsque l’on sort des pistes en station.