la patois savoyar

(j’ai poster ca ici paske jais paske j’ai pas les attorisation de poster dans le tapas)(les modos je me tourne vers vous pour transferer se post et effacer ce qu il i a entre parenthese merci)

le savoyard la plus belle langue du monde
la langue du pays bon dieu

je vous ai fait un petit lexique des mots souvent untiliser de pars cher nous

LES LIEUX

Un coup d’oeil sur une carte de Savoie montre que les noms de lieux se répètent assez souvent. Le sens de ces noms, en patois, est souvent descriptif de l’endroit.

LA BALME, BALMETTE : Grotte

LE BOUCHET : Lieu garni de bosquets

LE CHOSAL : Maison en ruine

LA CHOUIA : Le chemin

LA COMBE : Vallée en flanc de montagne

LES CÔTES : terrains en pente à flanc de montagne

LES FINS : Bonnes terres

LE FONTANIL : endroit où se trouve une fontaine

LE FORON : torrent

LES ILES : un endroit isolé

LE MOLLARD : une grosse colline ronde

LE MOLLIER : endroit humide

LE NANT : ruisseau, petit torrent

LE PASSA-FRANC : le raccourci

LE PLAN : Lieu relativement plat

LES PLATIÈRES : les plateaux

LA PERRIÈRE : Lieu rempli de pierres

LES PRAZ : Les prés.

LES RAPINES : terrains en pente et peu aisés à travailler

LE RIVAL : Cours d’eau

LA SAISIE, LE SAIX, SAXONNEX, etc : la roche

LA SAUFFE, LA SAUVE : Lieu où se trouvait une sauve (maladière),ou hospice

LES TEPPES, LES TATTES : Terres en friche

LA TOUVIÈRE, LE THOVEY : Carrière de tuf

LE VILLARD : hameau

LES CHOSES
vous en connaiser plus que vous ne croyer croyer moi
L’ABADÉE : remontrance, engueulade

L’ARCHE : huche pour la farine

LE BABU : épouvantail.
LA BARAUTE : brouette, anciennement un tombereau ( latin bi rota , deux roues )

LA BARAUTIÈRE : chemin à travers champ

LE BIDOYON : cidre

LE BILLON : tronc d’arbre scié par les deux bouts (du gaulois *bilio, arbre)

LA ou LE BIOLE : le bouleau

LE BISOLET : petit vent froid, courant d’air

LES BOUDÈRES : feu de la St Jean (à Conflans…) (cf. FÂILLE…)

LA BOSSE : tonneau de grande capacité

LA BOUVÉE : l’étable (dans le Beaufortain)

LE BRI : le berceau

LA BUGNE : crêpe frite préparée à la Chandeleur et à Pâques

LE CARCASSU : désigne un plat fendu

LA CASSE : louche pour prendre l’eau (cf. PÔCHE …)

LE CERTOUX: la cave (dans le Beaufortain)

LA CHOPINE : picholette de vin. On dit aussi un «cinquième.»

LA COQUELLE : marmite en fonte

LE CORAILLON : trognon, coeur du chou et de la salade

LE COUÈCLE : couvercle (de marmite)

LES CROZETS : petites pâtes carrées, souvent au sarrasin

LA DAYE : le pin sylvestre

LA DÉSALPE : la descente du troupeau de l’alpage en fin de saison

LE DIOT : saucisse bien connue, généralement cuisinée au vin blanc

L’EMPLÂTRE : un coup qui laisse sur place

LES ÉQUEVILLES : déchets ou copeaux

L’ÉVEILLON : une gifle qui réveille

LA FÂILLE : feu de la Saint-Jean; du bas-latin favilla, la braise

LE FAITOUT : marmite à tout faire

LA FANFIOURNE : petite histoire sans intérêt; « Qu’est-ce qu’il peut en raconter,
des fanfiournes. »

LE FARTO : cellier, caveau pour les fruits, le fromage, le vin, les patates …

LE FAYARD : le hêtre

LA FÉRA : poisson des lacs; s’appelle corégone ou lavaret dans d’autres régions.

LE FRUIT : production laitière (le fruit de la vache)

LA FRUITIÈRE : laiterie coopérative de village

LE GABION : petit chariot à bras

LES GAUDES : bouillie de maïs, ressemblant à la polente

LE GORLION : tronc de sapin avec ses racines

GOUILLE : creux rempli d’eau; « Ça pleut toujours dans les grandes gouilles »
(Proverbe qui signifie que l’argent va toujours à l’argent)

LA GOYARDE : petite hache

LE GRATTACUL : fruit de l’églantier

LA GROLLE : en Val d’Aoste, une coupe en bois, ressemblant à un chasuble, dans laquelle on sert du vin cuit: le mot viendrait du latin vulgaire *cratalem , lui-même issu du grec kratêra

LA GROLLE : en Savoie, coupe à multiples becs à laquelle on boit du vin cuit à tour de rôle

LA KINKERNE : la vielle à roue

LA LAUZE : tuile de pierre utilisée pour couvrir les toitures

LA LICHÉE : une petite quantité; on rajoute une lichée de vin au potage

LA LONGEOLLE : saucisse au cumin faite de tripes, chair et couenne de porc

LA MAJON : la cuisine (dans le Beaufortain)

LE MATAFAN : beignet épais à base de farine, d’oeufs et de lait

LA MOJON (MODZON) : la génisse

LA MANOUILLE : anse d’un pot ou d’une tasse

LE MOULE : mesure de volume de bois; varie selon la vallée

LA PANOSSE : serpillière

LE PLE : la chambre principale d’une maison (dans le Beaufortain); petite chambre
chauffée par un poêle

LA PEUFFE, PEUFLE : poussière; «Quand tu balaies, c’que tu fais comme peufe!»

oui oui c’est pas une expression des raton faire la peuf

LE PLÉYON : torchon

LA PÔCHE : louche. se dit « le pochon » dans le pays de Gex

LE POIDS : balance; «Va chercher le poids pour peser le grain.»

LA POLENTE : semoule de maïs préparée dans un bouillon

LA RACINE : carotte. Ce dernier terme était quasiment inconnu au début du siècle.

LA RÂFE : la diarrhée

LES RAMEPOIS : rames, tuteurs pour pois et haricots

LES RAMIURES : rames, branches utilisées commes tuteurs pour soutenir pois et haricots.

LA RINCÉE : orage; « En revenant du marché, on a pris une de ces rincées! »

LA SAISIE, SAISIAZ : la roche; le Col des Saisies, Plateau des Saisies.

LA TARTIFLE : pomme de terre

LE TASSIN, TASSON, TACHON: le blaireau

LE TAVAILLON : planchette de bois utilisée pour les toitures

LE TOUPIN : pot en terre vernissée

LA TOUPINE : jarre en terre vernissée d’une contenance de huit à dix litres où l’on conservait le beurre fondu ou le saindoux

LA TOMBÉE : une très petite ration; « Tu viens boire la goutte? Je veux bien, mais juste une tombée. » On dit aussi un doigt, une larme

LES VAROSSES : hautes herbes des alpages

LA VERNE : l’aulne (du gaulois *verna )

LE VUARNE, VARGNE: sapin blanc ( du gaulois *varno )

LES GENS

LES BOËBES : marmots; « Elle s’en voit avec tous ses boëbes… »

LE BORNALU : désigne un homme au visage grêlé, comme par la petite vérole.

LE CACANIOLET : un homme tâtillon, lent, minutieux

LE DÉCAPADIOT : grande personne peu agile de ces membres (personne
suffisament grande pour décaper (décrocher) les diots pendus au plafond des caves.)

LE DIAN-DIAN : un benêt

LE GAILLAFANT : désigne un jeune homme peu dégourdi

LE GAPIAN : un vaurien

LE GATION : gaté ou chéri pour un enfant

LE MAGNIN : étameur, réparateur d’ustensiles de cuisine, qui passait dans les maisons. Les enfants lui criaient; «Souffle, souffle, magnin, pour gagner ton pain.»

UNE NIOUGNE : une bonne à rien

UNE PANOSSE : une femme de mauvaise vie

LE RADICHON : un avare

LE RAPATIN : rapatouilleur. (une explication plus claire serait bienvenue).

LE RAPONDU : un homme très grand

LE SERRE-PATINS : un avare

LA SNIULE : personne qui se répète, qui traîne; « Cette femme, quelle sniule! »

LE TATU : désigne quelqu’un de borné. (têtu).

ADJECTIFS

AFFANÉ : Gagné à la sueur de son front; « Les sous qu’il a, il les a bien affanés. »

BROSSU : Décoiffé; « Tu aurais dû le voir ce matin: il était tout brossu. »

CAOUÉ : Crotté, mouillé; « J’ai été surpris par la pluie et je rentre tout caoué. »

ÉCHARBOTÉ : Décoiffé, dirigé dans tous les sens; « Ses cheveux étaient tout écharbotés. »

ÉDIOFÉ : Écrasé, coincé; « Les poires sont tout édiofées dans mon sac. »

GRÉMOTTU : Rugueux. « La peau des poires est toute grémottue cette année. »

EXPRESSIONS DIVERSES

une ABADÉE = sévère remontrance.

s’ABADER = se mettre en train, se remuer, se lever.

ADIEU = dire bonjour à celui qu’on connaît bien, salutation.

un AGASSIN = un cor au pied, durillon.

APONDRE = ajouter, allonger, attacher.

AULP = alpage.

ARSOUILLER = mal recevoir, ou reprendre durement quelqu’un.

ADIEU : Terme de salutation, bonjour. Se dit en rencontrant quelqu’un, et non pas, comme en français, au moment de prendre congé.

A’RVI, A’RVI PA : Au revoir. PA ou PÂ est une forme raccourcie de « n’est-ce pas » .

ARSOUlLLER : Mal recevoir, ou reprendre durement quelqu’un; « Je ne vais pas chez elle, car c’est juste bon pour se faire arsouiller. »

AU : Remplace souvent « chez » : « Il va au coiffeur, au docteur… »

BON ESTOMAC (avoir) : Se dit de quelqu’un qui chante fort. « Le Joseph, il a bon estomac. »

BOURRÉES (par) : Irrégulièrement; « Hier, on a eu du monde par bourrées. »

ÇA S’EST EU VU - Ce passé surcomposé signifie: « On a vu/connu autrefois… »

CE SOIR : Hier soir.

ÇA M’A BlEN FAIT DU BlEN. « Cela m’a fait grand bien .»

C’EST BIN TANT BON ! : « Cela est bien bon. »

C’EST SÛR ÇA ! : « Certainement! » A l’interrogatif , signifie « C’est bien vrai? »

CUBELLER : tomber

DÉMONTAGNER : descendre les vaches de l’alpage en fin d’été

DE BIZINGUE : de travers

DÉCROÎT : Atrophie d’un membre; « Mon frère a le décroit au bras gauche.»

DES FOIS : Employé improprement à la place de « parfois.»

DONNE-M’LE : « Donne-le moi. » Le patois ne distingue pas « moi » de «me.»

DONNER UNE POIGNÉE D’ÉLAN : Donner un coup pour faire bouger

DRÉ : tout droit

EMPRAILLER : Remettre en prairie. « J’ai empraillé mes champs d’en haut. »

ENCORE : Ce mot indique une certaine nuance, par exemple de regret; « Il parait que vous avez encore été malade? » , de joie: « Vous avez encore bonne mine! »

ÉPEUFER : Repousser violemment; « Je me suis fait épeufer. »

ÉTRAMER : Retirer; « Tu n’as pas étramé la viande et le chien l’a emportée. »

GÔGNES (faire des) : Faire des manières ridicules; « Arrête de faire des gôgnes, et sers-toi. »

LE GROS DU JOUR : La plus grande partie de la journée

MERCI À VOUS : Au lieu de « Je vous remercie. »

OCTANTE : Quatre-vingts; se disait dans le Genevois et les communes frontalières. On dit toujours huitante à Lausanne et en Valais.

OUISTER : Menacer avec une baguette.

PITALER : Marcher vite et beaucoup; « Qu’est-ce qu’il a à pitaler comme ça ce matin! »

REVIENS-Y ! : expression ironique, « Ne recommence pas! »

RIEN : Négation; «Oh, n’ayez pas peur du chien, il n’est rien méchant. »

RIEN QU’EN Y VOYANT J’Y VOIS : C’est évident

SACOGNER : Secouer brutalement.

SEULEMENT : Donc; «Faites seulement!» ou «Reprenez seulement du jambon!»

TANTÔT : Plus tard, cet après-midi, ce soir, demain; « J’te verrai c’tantôt. »

TOUCHER LA MAIN : Serrer la main.

TOUTES (les avoir) : Série d’ennuis. « Je les ai bien toutes eues cette année. »

UN : S’emploie couramment au lieu de « celui » ; « Un qui aurait su ça… »

VOIR : Employé comme adverbe, il apporte une nuance au verbe principal; « Dis
voir un peu ce que tu penses de ça. » « Regarde voir si l’facteur est passé. »

VOULOIR : Exprime la possibilité, l’éventualité; « Ça veut pleuvoir c’tantôt »

Y : S’emploie à la place du pronom d’objet « le », « la », ou « les » ; « Ça, j’aime pas y faire. »

voila j’espere qu’sa vas vous servir quand vous viendrer dans nos villard

aller arvi’pa fauts’y faire bon dieu

Excellent ce topic! ça me rappel ma savoie natale et mes potes dla savoui tout ça!

Délire ce sujet !

Un modo gérant cette section va le déplacer dans le tapas don’t soucy

ah la la c’est suuuuuuuuuuuuuurrrrrrrr faut dire par chez nous!!! mais oui oui!!!
ah la polenta et les matafans!!!c’est trop bon!
je me rends compte que jpeux pas renier la iaute, jcolle des « y » dans toutes mes phrases: t’as qu’à y faire vin dieu!!

Arvi pa!

HA ben voilà un bon topic

Vive le patoi de chez nous

C’est clair comme le dit nikita, en haute savoie tout le monde colle des « y » partout
Il y a tout de même pas mal de mots que j’emploi encore.

Dré dans l’pentu point d’virolons…
( Droit dans la pente, et pas de virages… )

Salum’s

Bien sympathique ce topic !!! Moi qui suis pas du coin j’ai parfois du mal avec certains clients lol mais à force l’oreille s’y fait !!!

Taktéwouénendit tinichon?

C’est ca qu’est bon le parler pâtois dla yaute
Bien vu le topic

Sympatosh le ptit Topic sur le patois savoyard

le pire c’est les now de village

mais c’est vrai que sans c’en rendre compte j’emplaie masse de mots en patois

abbader bobet adieu arvie pa … c’est encore tres employer

bon topic cest asser original

Terrible ton sujet ! Je m’occupe de transférer ça

Petite précision : tupeux posterdes nouveaux sujets dans le tapas, par contre tu ne peux pas le poster directement dans un de ses sous-forum (sujets mythiques, etc…).

Tiens en rapport avec ton sujet, on m’a filer l’adresse de ce site Ca envoit du gros

C’est pas José bové qui irrait te demonter un MAC DIOT mortel le link

il cartonne ton site

favori direct

in tartiflette we trust

yeah vive les patoi style

puisque vous aver aimer voila les PROVERBE EN PATOIS

I fâ prindre lo tin kmin a vin, lou-z-omo kmin i son, l’ardzin pè cin k’a vâ.
Il faut prendre le temps comme il vient, les hommes comme ils sont et l’argent pour ce qu’il vaut.

A van-t-an, on pren kwi on vu ; a vantfè, kwi on pu ; a tranta, kwi no vu.
A vingt ans, on prend qui on veut ; à vingt-cinq, qui on peut ; à trente, qui nous veut.

I vo mé savé k’davé.
Il vaut mieux savoir qu’avoir.

Ame leu bon pe ké t’amasson, âma leu mové pe ké ne te mordasson.
Aime les bons pour qu’ils t’aiment, aime les mauvais pour qu’ils ne te mordent.

Cé ke tran-ne trè fo lo pan moru.
Celui qui traîne trop fait du mauvais pain.

K’i sayè métre o aprenti, on crwé ouvri a crwé outi.
Qu’il soit maître ou apprenti, un mauvais ouvrier a de mauvais outils.

La koèta mjhè l’éplé.
La hâte mange l’avance.

De fortuna è de santé, è ne fou jamè sin vinta.
De fortune et de santé, il ne faut jamais s’en vanter.

Dire è fore son po frore.
Dire et faire ne sont pas frères.

E leu solâr leu pe fin ké fon leu pè grou-z-agassin.
Ce sont les souliers les plus fins qui font les plus gros durillons.

Jamé grou tloshi n’a redéfé pti velozhe.
Jamais grand clocher n’a déparé petit village.

Kan la fèna pou plu parlâ, s’n’êtreramê fô apresta.
Quand la femme ne peut plus parler, son enterrement il faut préparer.

Le guegni vâ le dire.
Le regard vaut un discours.

La lenga kope pe profon k’onna goïarda o k’onna fou.
La langue coupe plus profond qu’une serpe ou qu’une faux.

To-t-i vu, to-t-i pér.
Tout il veut, tout il perd.

Ké n’sâ pâ kopâ l’pan, ne sâ l’afanâ.
Celui qui ne sait pas couper le pain, ne sait pas le gagner.

La potè prin-me san malin-ne.
Les femmes aux lèvres serrées sont méchantes.

Bela rouza devên grataku.
Belle rose devient « gratacul » (fruit amer de l’églantier, symbole de la femme revêche).

Tô lô bronzin truvon leu kwékliè.
Toutes les marmites trouvent leur couvercle.

La fène ke di to a son mari, lè ploura mé ke lè ne ri.
La femme qui dit tout à son mari, elle pleure plus qu’elle ne rit.

Tan mé on brafe la merda, pè mandre lè chwan.
Plus on brasse la merde, plus elle sent mauvais.

Inprunta fa pliézi, rindre n’en fa poin.
Emprunter fait plaisir, rendre n’en fait point.

Kan ma borsa fa tin-tin, to le monde è mon kosin, kan le fa tru-tru, to le monde vire le cul.
Quand ma bourse fait tin-tin (pleine) tout le monde est mon cousin ; quand elle fait tru-tru (vide) tout le monde tourne le cul.

Ce ke vin pe la rapena s’è teurné pe la rwinna.
Ce qui s’en vient par la rapine, s’en retourne par la ruine.

Fa de ta boste na prazon pè betâ ta lêga a la rézon.
Fais de ta bouche une prison pour mettre la langue à la raison (et ne pas médire).

Kan la luna s’rnouvêle in bô, dan très jheu on a d’êde.
Quand la lune renouvelle en beau, dans trois jours il y a de l’eau.

La plioze du matin n’a jamé arêta lou pèlerin.
La pluie du matin n’a jamais arrêté le pèlerin.

De bère, é-i-a pas tan de mâ, parvi k’a la mazon on poïasse tornâ.
De boire, il n’y a pas tant de mal, pourvu qu’on puisse s’en retourner à la maison.

I fâ fère via ke dure.
Il faut faire vie qui dure.

Kan on se kuste awé leu stin, on se lève awé lè puzè.
Quand on se couche avec les chiens on se réveille avec des puces.

i z’etait sages nos vieux quand meme

salut!! hmmm, j’apprend francais mais je connais pas « la langue de siecle », hehe merci pour ton dictionnaire

de rien hehe

comme ca quand tu viendra dans notre beaux payx tu comprendras ce que le gens veulle te dire

jen ai un autre pout toi: per passa la bona nué fot na bona custe!! dsl l’orthographe patois net pa mon fort. traduction pour passé une bonne nuit faut un bon lit a poâte