bon, ça, c’est fait.
Le matos de départ.
Tout dépend.
Avant mars 2004, on n’avait pas pratiqué le snow (enfin 1 fois à oublier), lorsque on a eu l’occasion de louer du matos gratos (compris dans le forfait) on a pris des cours et là… ET LÀ !? Et là on a su qu’on allait pas décrocher de sitôt. On a trouvé notre matos à prix discount pendant l’été et on est montés à VALBERG en octobre (alors que la station n’était pas encore ouverte).
Voilà. Ce fut tout de suite un coup de foudre.
Quand on a attrapé la berlue, on peut penser à se pourvoir de son propre matos et tout faire pour l’obtenir. Si on l’a pas, boof.
Le premier critère a en effet été les boots.
Il faut absolument se sentir bien dedans.
pour le reste, l’entrée de gamme certifie un matériel fiable partout aujourd’hui.
Il a l’avantage de ne pas être trop technique puiqu’au début on ne l’est pas non plus.
On apprend à évoluer avec (3, 4 ou 5 saisons, je ne sais pas)
C’est un peu comme un sampaï (tuteur) le matos : il évolue avec toi et quand tu le dépasses, tu le vends avec humilité à quelqu’un qui doit parcourir ce chemin.
Je ne vois pas en quoi la fréquence de ride est si importante.
Parce qu’on progresse plus vite ?
Parce que le matos s’abîme plus ?
Parce que c’est une quesiton de rentabilité ?
Je pense que je choisis mon matos selon l’évolution de mes capacité, c’est quand même le niveau qui compte, non ?
<mode « to do » on> tiens faudra voir à un faire un sondage sur la fréquence de ride par an…si le sondage n’existe déjà pas <mode « to do » off> sisi là